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Addiction au sucre, pire qu'à la cocaïne

Addiction au sucre, pire qu'à la cocaïne A lire aussi... Produits utiles à ce sujet

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Une dépendance physiologique au sucre ou tout simplement un goût plus prononcé pour les aliments dit sucrés peuvent très vite déboucher sur un comportement dit « addictif » : consommer la plaque de chocolat en quelques minutes, le paquet de bonbons avalé aussi rapidement, besoin de sucrer de plus en plus son café ou de consommer des pâtisseries.

Derrière cet appel au sucre peut se cacher parfois une dépendance psychologique pouvant entrainer de graves perturbations, sans omettre les risques physiologiques d'obésité, de diabète et de troubles alimentaires qui y sont associés. Le sucre peut être une vraie drogue, si l'on se réfère aux mécanismes d'action mis en jeu, indépendamment de son côté acidifiant pour l'organisme.


Qu'est ce que le sucre ?

  • Le sucre fait partie de la grande famille des glucides, consommé régulièrement par tout un chacun soit sous forme d'hydrates de carbone, avec les non moins célèbres pâtes mais également toutes les céréales, les pommes de terre pour leur teneur en amidon.
  • Le sucre, sous forme de glucides simples, comme le fructose, le saccharose, est quant à lui contenu dans les fruits ou le sucre de table mais aussi il lui arrive d'être bien caché. C'est le cas notamment des plats tout préparés, industriels, des biscottes, des sauces, des hamburgers, des sodas pour ne citer qu'un bref échantillon de ce qu'est devenue l'alimentation du 21 ème siècle dans bon nombre de pays : d'autres sources de sucre dont on se méfie moins et qui contribuent de nos jours à entretenir ce goût exagéré pour le sucré.

Pourquoi l'homme aime t'il le sucré ?

  • L'être humain en venant au monde présente tout d'abord un goût inné pour la saveur sucrée, l'une des explications, même si cette appétence est loin d'avoir été élucidée, résiderait peut être dans le fait que le sucre demeure le principal carburant du cerveau : une parade mise en place génétiquement afin de toujours préserver l'élément moteur du corps humain. Une petite baisse de régime, de concentration et d'irritabilité et le réflexe inné est de consommer rapidement du sucre, quelque soit sa forme, car ces signes dénotent un manque au niveau du cerveau, privé de son carburant dont il ne saurait se passer !
  • Le sucre ou les aliments sucrés sont d'autre part perçus comme une récompense, une douceur associée au plaisir de par les mécanismes d'action impliqués au niveau du cerveau qui va alors être stimulés parfois de façon excessive.
  • En effet, ces aliments très riches en sucres ou consommés en trop grande quantité peuvent influer sur les mécanismes de récompense, qui se jouent au niveau neuro-cérébral, entrainer une perte de contrôle et déboucher sur des processus addictifs, certains sujets étant plus vulnérables que d'autres, de par leur vécu et/ou pathologies.

Le risque addictif lié au sucre existe :

  • Le fait de manger, de se nourrir implique la sollicitation de bon nombre de nos sens, qui additionnés permettent de renforcer cette « addiction » à ce qui fait du bien, qui génère du positif, du plaisir, tout comme les drogues bien connues, représentées par le tabac, la cocaïne, les opiacés, le cannabis.
  • Un repas copieux, riche en produits sucrés, va entrainer des phénomènes dits de neuro-adaptation au niveau d'une partie du cerveau, ceux-là même qui peuvent engendrer des symptômes de manque, un usage compulsif, des envies irrésistibles de manger : le cerveau a besoin de retrouver cette sensation si agréable avec à chaque fois, obligation d'augmenter les doses ingurgitées, tout comme ce qui est vécu par les « addicts » à la cocaïne ou autres drogues.
  • Grâce à l'imagerie cérébrale, il est possible de nos jours de mieux comprendre les neuro-modulateurs impliqués dans ce phénomène d'addiction et notamment le système opioïde, responsable du comportement impulsif*, ainsi que celui de la dopamine, un élément biochimique dit « hormone du plaisir », celle-là même qui donne la chair de poule à l'écoute d'une belle musique écoutée.
  • Des expériences menées sur des rats indiquent qu'une grande consommation de sucre stimule les mêmes zones que les drogues (les récepteurs dits « opioïdes ») mais pas seulement : des essais menés sur des animaux ont relié une consommation excessive de sucre à un risque accru de prendre des drogues dures et vice-versa*.
  • Ces déficits ou comportements dits addictifs demeurent d'autant plus fréquents chez les personnes ayant une mauvaise hygiène de vie, à travers des repas déséquilibrés ou pris à des heures irrégulières, sans parler de celles qui sautent directement les repas : le corps va alors stocker pour pallier à la restriction avec risque de prise de poids augmenté, de syndrome métabolique ou/et de diabète.

Faire la chasse aux produits contenant du sucre sous toutes ses formes ( sirop, glucose, additifs, aspartame) reste une piste à suivre, couplée au fait de bien veiller à réguler son alimentation, en variant le plus possible ses sources de glucides, associés à des légumes et fruits, à haute teneur vitaminique sans oublier toutefois la grande part psychique que peut révéler cette addiction : l'acupuncture, la sophrologie, les élixirs floraux, l'EMDR représentent des aides précieuses pour ne pas sombrer dans cette dépendance malheureusement de plus en plus fréquente, et pouvant sur des addictions plurielles.


*Colantuoni C, Rada P, McCarthy J et al. Evidence that intermittent, excessive sugar intake causes endogenous opioid dependence. Obes Res. 2002 Jun;10(6):478-88.
**. Levine AS, Kotz CM, Gosnell BA. Sugars: hedonic aspects, neuroregulation, and energy balance. Am J Clin Nutr. 2003 Oct;78(4):834S-842S

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Département Bien-être & Nutrition

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